l'université + Les jeunes adultes défilent dans les couloirs de l’université, des salles de cours bruyantes des litanies d’apprentissage pendant que d’autre se reposent sur l’herbe blanche d’un temps cotonneux les soirées d’été. Quelques fois, la nuit qui devient le soleil accueille ses enfants alourdis par le poids des cahiers et des connaissances. L’université est réglée comme une ville, minuscule des sociétés tandis que les professeurs se permettent de parler pendant quelques secondes avec leurs favoris. Les amphithéâtres abritent quelques spécialistes les week-ends pour des conférences silencieuses, religieuses presque où les élèvent s’abreuvent de savoir.

la mairie + Des foules qui se pressent sur le sentier de la mairie, lieu important de la ville car c’est ici que les papiers se déversent dans les sacs tendus. Pour des visas et des projets, des passeports et d’autres papiers à remplir, les lèvres se meuvent de l’implacable corvée qui doit être faite. Mais la mairie est située sur le domaine spectaculaire des féeries, plantes et fleurs tourbillonnantes dans les vallées des couloirs tandis que les employés en talons aiguilles pour certains transportent des dossiers. Il faut dire qu’avec les résurrections un nouveau service vient d’être habité, et les morts s’y agglutinent pour faire état de leur identité passée.

restaurant + A l’inverse du salon de thé, les tables sont bien cadrées, d’un noir opaque, de geai, cirées et entretenus comme des joyaux ; c’est la perle gratinée, des gens riches et bien habillés qui se dispersent dans les deux grandes salles auréolées de lumières. Des serveurs en smokings proposent les cartes d’un geste courtois, d’un autre temps ; les cuisiniers aux cuisines semblent concentrés toutes les heures de travail, une pause de temps en temps pour fumer les lèvres réchauffées par les brumes de nicotine tandis que le bruit des discussions tamisées par les tableaux sur les murs se poursuivent tout au long d’une nuit merveilleuse.